Un jour, j'ai inventé une machine à chocolat. Elle fabriquait tous les chocolats qu'on voulait. Elle était grosse et il y avait un autocollant en chocolat collé sur la machine.  Elle avait un tuyau d'où sortaient les chocolats. Elle avait des roulettes, un moteur et un bocal avec du chocolat liquide. Je l'utilisais des fois pour le goûter.

Enzo 

Un jour, je me promenais tout seul.
J'avais décidé de faire des bonbons.
Je suis rentré chez moi en courant.
J'ai pris ma caisse à outils.
J'ai fabriqué une machine.
Ma machine était en forme de bonbons.
Je pouvais faire plusieurs bonbons.
Je pouvais faire des bonbons à la menthe, au citron, au caramel ou à la fraise.

Tom

Un jour, j’ai inventé une machine, une machine en chocolat. Elle avait l’air si bonne ! J’ai  voulu la manger, mais je me suis retenue. Elle fabriquait plein de chocolats, et aussi des gâteaux, des biscuits, des desserts, tout en chocolat. Un jour, elle m’a fait des chocolats dégoutants ! J’ai failli vomir. Je suis allée voir, et j’ai vu qu’elle ne marchait plus. Il n’y avait plus de chocolat. Du coup, j’en ai refait, et je l'ai mis dans la machine. Miracle ! Elle remarchait.                                                                   

Lina

Zoé vous propose de découvrir ce site :
http://www.la-conjugaison.fr/exercice/

 Il était une fois dans un lointain pays, là où il faisait tout le temps chaud, l'histoire du froid.
Je me nomme Caroline. J'ai 22 ans et deux enfants.
Un beau jour, quand mon mari Eric se réveilla et alla pêcher sur la Saône, il eut la surprise de voir que la rivière était gelée et qu'il neigeait. Alors, il revint me réveiller en criant.

Je sortis de la maison et à ma grande surprise, je pus voir que c'était vrai. A mon grand désespoir car nos enfants n'avaient pas d'habits bien chauds. Alors je me mis à crier. A ce moment-là, tous les villageois se réveillèrent et sortirent de leur maison. Je me mis à pleurer lorsqu'Eric remarqua qu'il n'y avait plus d'eau. Comment allions-nous faire pour nous laver et pour nos récoltes qui avaient gelé?
La journée passa et on décida de voir le lendemain. Mais, au lever du jour, il y avait encore de la neige et la Saône était toujours gelée.
Le maire du village ne faisait rien pour enlever la neige. Les habitants du village étaient furieux. Alors ils décidèrent de se révolter. Ils empêchèrent le maire de passer.
Mais je pensais que nous ne devions pas faire tout cela car il n'avait pas les moyens.
Je passai entre tous les habitants et je montai sur les marches de la mairie et criai.
Tout le monde accepta.
Trois heures plus tard, nous n'avions pas trouvé la solution à notre question. Quand mes deux enfants rentrèrent de l'école, ils nous demandèrent ce qui se passait. Nous leur avons dit la question que tout le monde se posait. Ils nous dirent en coeur la solution.

Ils avaient raison; on était en hiver, au mois de mars.
Un mois plus tard, on était en printemps il faisait beau et il ne neigeait plus. La Saône était redevenue bruyante. Nous étions heureux de retrouver la chaleur mais un peu tristes de ne pas avoir pu jouer avec la neige.
Voilà l'histoire du froid dans un pays chaud.

Laurette

De nombreux logiciels éducatifs gratuits sont téléchargeables et installables à partir de ces 3 sites :

http://crdp.ac-rennes.fr/29/TICE/docs/index.php?option=com_content&view=article&id=120&Itemid=127

http://framadvd.org/framadvd-ecole

http://pragmatice.net/recherche_logiciels/

Un jour, je me regardais dans mon miroir. Tout à coup, le miroir m'a aspiré et je me suis retrouvée au pays des montres. Les montres avaient six pieds, quatre mains et un bras au milieu du ventre. Ils me donnaient du vomi à manger, des limaces, des cheveux, des craies, des oreilles géantes, des rats, des putois et des yeux d'extraterrestres. Alors, j'ai tout mangé mais c'était dur de le faire.

Après je me suis dépêchée à partir mais un monstre me surveillait. Alors, dès qu'il est allé faire ses besoins, j'en ai profité pour m'échapper.

Un jour, je me promenais dans le jardin et je suis tombé dans un trou où il y avait une porte. Alors, j'ai ouvert la porte et je me suis retrouvé dans un pays où il y avait des monstres avec plein de verrues et de boutons rose fluo. A l'heure du repas, en entrée, il y avait du saucisson de ver de terre avec de la bouse de vache. En plat principal, il y avait des araignées grillées avec des nouilles de crotte de nez. En fromage, il y avait du bleu à la cervelle de chameau et en désert, il y avait un moelleux aux crottes de nez avec une crème anglaise à la colle. Autant vous dire que j'ai réussi à avaler difficilement ce repas. Ils m'ont dit : «C'est quoi ces manières de manger avec des couverts ? Ici, on mange avec les doigts ! » Le soir, je suis allé à la salle de bains pour me laver et ils m'ont dit: « Ici, on ne se lave que le mercredi et le dimanche.» Le lendemain, en me promenant, une vieille monstre m'a dit : « Que tu es laid ! Viens voir, je vais te relooker.» Alors je l'ai suivie. Elle a pris des ciseaux et s'est mis à me couper les cheveux. Ensuite, elle a pris des vieux vêtements et me les a enfilés. Depuis ce temps, tous les monstres me trouvent joli.

Chez moi, j'ai un truc incroyable, c'est une machine à devoirs.
Après l'école, je la mets toujours en route. Je mets mon agenda sous le grand plateau de la machine. Il y a alors  de la fumée rose et ça fait "ti tou ti tou ti tou ti tou" etc.
Je dois mettre un casque sur ma tête et ça m'apprend les leçons sans me forcer. Cinq minutes plus tard, mes devoirs sont faits.
Toutes mes copines viennent chez moi pour leurs devoirs.

La machine
Je m’appelle Jules. J’ai 11 ans. Un jour, mon prof de sciences m’a demandé en devoir de créer une petite machine ! Déjà en sciences, je ne suis pas bon mais construire une machine !!! Le soir, je suis rentré éberlué ! Faire une machine ! J’ai posé mon cartable.
J’ai dit à mon papa : « Tu peux me passer ta boite à outils s’il te plait ? »
- Pourquoi ?
- Pour un devoir, ai-je répondu.
- D’accord.
J’ai pris la boite à outils. J’ai pris ma veste, et je suis allé dans le garage. J’ai pris des boulons, un tournevis, des piles etc. Le lendemain, j’avais réussi à faire une machine qui ressemblait à un petit robot. J’allais être la risée de tout le monde.
Arrivé à l’école, le prof de sciences nous a demandé de montrer nos machines. Tout le monde avait quelque chose de bien ! J’ai sorti à mon tour ma machine. Le prof de sciences m’a demandé ce que c’était. Je n’avais pas eu le temps de savoir à quoi elle servait.
J’ai alors dit : « A faire joli. »